Votre médecine douce pour traiter la douleur chronique:
Pourquoi utiliser une médecine douce pour gérer la douleur chronique?
Lors d’épreuves de vie comme la douleur chronique, il est important de compléter les bienfaits de la médecine allopathique par une médecine douce, en effet, la prise d’antidouleurs sur de longues périodes peut être nocive pour l’organisme. L’objectif de votre médecine douce est de réduire votre consommation de médicaments pour éviter l’accoutumance et les effets secondaires. Ce qui permet d’autre part de conserver l’ efficacité des médicaments pour gérer les crises douloureuses les plus graves.
Une médecine douce bien adaptée à vos besoins améliore votre qualité de vie ce qui vous aidera à garder un état d’esprit positif. La douleur chronique est plus difficilement supportable si vous êtes en dépression.
Choisir une médecine douce pour traiter a douleur chronique:
Le choix d’une médecine douce pour calmer la douleur chronique est délicat car l’offre est vaste, la compétence et la formation des praticiens ne sont pas réglementées et une médecine douce conviendra mieux qu’une autre en fonction de vos besoins, de votre personnalité et du feeling avec votre thérapeute. Je vous conseille d’en essayer plusieurs, avec différents praticiens pour trouver l’approche qui soulagera au mieux votre douleur chronique
Testez, expérimentez et faites votre choix sur la base de votre expérience. Certaines approches vous apporteront plus que d’autres mais chacune fera partie de votre chemin vers la guérison.
Trois règles d’or à suivre pour le choix d’une médecine douce:
- Le prix : La médecine douce n’est pas remboursée par la sécurité sociale, elle est donc plus chère, un prix de 50 € de l’heure est raisonnable, néanmoins si le prix de la thérapie est trop important ou si des examens couteux sont demandés, prenez conseil ailleurs car c’est rarement justifié
- La confiance: Vous devez avoir confiance dans la personne qui vous soigne et vous sentir à l’aise en sa présence. Si le courant « ne passe pas » il vaut mieux trouver une autre personne qui vous conviendra mieux, car c’est la qualité du rapport humain avec le thérapeute qui sera l’un des ingrédients de base de l’efficacité d’une médecine douce.
- L’honnêteté : Une médecine douce ne remplace en aucun cas le traitement médical, elle vient en complément pour aider à la guérison. C’est une aide précieuse mais cela reste un complément. Méfiez-vous si votre thérapeute est radical, s’il vous conseille d’arrêter votre traitement ou s’il promet des miracles.
Ce que je propose pour gérer la douleur chronique:
Je vous propose d’associer en synergie plusieurs médecines douces pour créer votre thérapie sur mesure. L’objectif est de multiplier les effets thérapeutiques et de s’assurer que ce que je vous propose est efficace. C’est à la fois une thérapie, une formation à la gestion de la douleur chronique et une méthode de développement personnel. le choix des médecines douces varie selon votre personnalité et vos affinités. ci-dessous les approches que nous utiliserons:
La gestion de la douleur chronique , que ce soit chez l’enfant ou chez l’adulte, est une des indications principales de la sophrologie en synergie. L’approche se base essentiellement sur la sophrologie, et s’accompagne principalement de techniques de respirations liées au yoga et d’aromathérapie. Pour les enfants, le dessin est utilisé pour l’aider à décrire sa douleur. Les premiers effets se font sentir rapidement, ce qui encourage la personne à poursuivre les séances. Une dizaines de séances peuvent suffire à élaborer des outils pour :
•Gérer les pics douloureux et la douleur chronique. •Maitriser le stress. •Garder un mental fort et positif. •Gérer la fatigue chronique. |
Pourquoi cette approche multiplie-t-elle les effets des médecines douces ?
En synergie veut dire qu’en agissant ensemble les thérapies créent un effet plus grand que la somme des effets attendus si elles avaient opéré isolément et qu’elles créent un effet que chacune n’aurait pu obtenir en agissant seule.
Prenons un exemple : Vous souffrez d’une douleur chronique et vous consultez un aromathérapeute qui recommande de l’huile essentielle pour vous détendre, vous consultez aussi un sophrologue qui propose une séance de relaxation. Enfin vous pratiquez du yoga. Dans cette approche en «parallèle» vous avez trois « outils » pour la détente, mais ils ne travaillent pas ensemble.
En sophrologie en synergie, on associe les trois techniques l’huile essentielle est diffusée en même temps que votre séance de sophrologie en cabinet et l’intervention de l’huile essentielle est intégrée dans le terpnos logos (Le « discours » dit par le sophrologue pendant la séance). Nous intégrerons également une technique liée au yoga pour prendre conscience des tensions présentes dans votre corps.
Chaque fois que vous ressentez une douleur, vous utilisez la sophrologie en sentant l’huile essentielle et en prenant conscience des tensions inutiles grâce au yoga. La sophrologie va donc renforcer l’efficacité de l’huile essentielle, l’huile essentielle va renforcer l’efficacité de la sophrologie. Rapidement, l’huile essentielle sera associée à « la détente » par la mémoire du corps grâce à la sophrologie. Et la technique de détente liée au yoga s’effectuera automatiquement.
Avec l’entraînement, il vous suffira de sentir l’huile essentielle pour vous détendre rapidement « sans y penser » et automatiquement réduire les tensions. Loin de la simple accumulation de médecines douces , la sophrologie en synergie multiplie les effets de chaque approche.
Comment se déroulent les séances?
Mon approche repose sur une alliance thérapeutique, ce qui veut dire que la qualité de notre dialogue est essentielle, car c’est sur la base des informations que vous me donnerez que l’on construira votre traitement. Le rôle de la première séance est de créer cette alliance. Bien vous écouter pour comprendre où se situent vos difficultés est essentiel et cela sera suivi d’un premier exercice de relaxation.
Chaque séance commence par un dialogue où l’on fait le point sur les difficultés que vous avez rencontrées et où on adapte notre approche.
Ensuite il y aura une nouvelle séance de sophrologie accompagnée éventuellement d’une médecine douce (aromathérapie, fleurs de Bach, yoga).
La séance se termine par un dialogue et la remise de l’enregistrement de la séance pour vous permettre de vous exercer à domicile.
Entre les séances , je vous soutiens par sms , par Facebook, par mail selon ce que vous préférez
La sophrologie en synergie est-elle une médecine douce efficace pour calmer la douleur chronique?
C’est efficace à condition que vous vous investissiez dans la création de votre thérapie et que vous pratiquiez vos exercices une fois par jour. L’efficacité dépendra de votre motivation à vous entraîner. mon rôle est de vous soutenir, de vous encourager, et de vous proposer des techniques qui peuvent vous convenir. |
La gestion de la douleur chronique par la sophrologie a-t-elle des fondements scientifiques ?
Oui, il y a des fondements scientifiques à la gestion de la douleur par la sophrologie:
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Vivre avec une douleur chronique:Au delà des mécanismes physiologiques de la perception douloureuse communs à tous les êtres humains, la douleur est une expérience réelle, individuelle et subjective et du fait de ses différentes composantes elle s’inscrit dans l’interdépendance de la vie somatique et psychique de la personne souffrante. La douleur chronique est un phénomène complexe et en même temps routinier, difficile à traiter. Quand elle est installée depuis longtemps elle est constante, répétitive, tend à freiner les activités de la vie quotidienne et les loisirs, pousse l’individu à consommer des médicaments d’une manière excessive et prolongée et en même temps augmente l’anxiété, l’agressivité, le repli sur soi. La douleur chronique peut conduire à la dépression car elle va renforcer et entretenir certains comportements, attitudes, croyances qui vont altérer la vie intime, personnelle, familiale, sociale et professionnelle de la personne |
Pour optimiser le traitement de la douleur, il est indispensable de distinguer les différents types de douleur , les différentes composantes de la douleur et de comprendre leurs origines. En effet, le traitement est radicalement différent selon le type de douleur en jeu. On peut opposer la douleur aiguë, signal d’alarme d’un dommage tissulaire, à la douleur chronique, maladie à part entière avec un important retentissement psychosocial.
Les quatre composantes de la douleur chronique:
- Une composante sensorielle : on souffre dans le corps, il y a un endroit où cela fait mal, une forme, un volume.
- Une composante cognitive : Elle reprend tous les modes de pensées opératoires qui se mettent en place face à la douleur : pourquoi je souffre, est-ce que cela va durer longtemps, la culpabilité. Cette composante vient souvent aggraver la composante sensorielle.
- Une composante émotionnelle : tout l’aspect désagréable de la perception émotionnelle qui accompagne la sensation douloureuse.
- Une composante comportementale : Elle reprend toutes les modifications de comportement induites par la douleur, par exemple, le repli sur soi pour une personne qui travaille ou une personne âgée qui va participer à moins d’activités et qui va réduire sa vie sociale, elle va s’isoler.
Les différentes catégories de douleurs:
- Les douleurs par excès de nociception: Les douleurs par « excès de nociception » (ou douleurs nociceptives) sont de loin les plus fréquentes. Elles résultent de lésions des tissus périphériques, qui provoquent un excès d’influx douloureux transmis par un système nerveux intact. Ce sont les douleurs habituelles des brûlures, des traumatismes, des suites d’une opération et d’un grand nombre de maladies. Celles-ci engendrent tantôt des douleurs aiguës (rage de dents, infarctus du myocarde, occlusion intestinale, colique néphrétique…), tantôt des douleurs chroniques (rhumatismes, maux de dos, cancers…).
- Les douleurs neurogènes Les douleurs neurogènes ou neuropathiques sont dues à des lésions du système nerveux, que ce soit au niveau périphérique (à la suite d’une amputation, de la section d’un nerf, d’un zona, d’une neuropathie diabétique ou alcoolique…) ou central (après un traumatisme médullaire, un infarctus cérébral…). Ces douleurs peuvent être spontanées, c’est-à-dire se manifester en l’absence de tout stimulus ; elles sont alors permanentes (fourmillements, brûlure, piqûre, broiement…) ou paroxystiques (douleurs fulgurantes en décharge électrique, élancement, coup de poignard…). Mais elles peuvent aussi résulter d’un stimulus normalement non douloureux, comme un courant d’air ou un effleurement, ou d’un stimulus peu douloureux qui est perçu de façon exagérée. Dans tous les cas ce sont des douleurs très invalidantes, qui s’accompagnent parfois, surtout quand elles sont chroniques, d’une anxiété et d’un fond dépressif.
- Les douleurs psychogènes: Les douleurs psychogènes regroupent toutes les douleurs que l’on ne sait pas classer dans une des deux catégories précédentes. Ce sont des douleurs sans lésions apparentes, malgré un bilan médical approfondi. Leur dimension essentielle semble résider dans le psychisme, avec l’intervention de phénomènes psychologiques amplifiant la sensation douloureuse.
Il ne faut pas oublier que tous ces facteurs peuvent coexister simultanément chez un même patient ou intervenir alternativement au cours de l’évolution de la maladie.
Pour plus d’informations n’hésitez pas à me contacter : 0494 65 98 79